Enfin, le film donne aussi la réplique à So Yamamura, vu dans « un Voyage à Tokyo », disparu récemment il me semble. En quelque sorte un film d’aventures, car dans les années 50 le Japon était encore un pays exotique pour beaucoup de spectateur. Ce qui compte, ce sont des vues assez splendides du Japon, aujourd’hui images d’archives, même si l’on regrettera parfois la lenteur du film lui-même, qui s’intéresse moins à un scénario qu’à une revendication politique des relations Américano Japonaises ce fameux « Nichibei » Sur le même thème. Qu’importe, le film basè sur des faits rèels est bon, voire très bon et ce même si « The Barbarian and the Geisha » est un produit d’une mode passagère de Hollywood comme le fut « Sayonara » et « The Teahouse of the August Moon » où Marlon Brando jouait dans les deux films! Lire la critique de Le Barbare et la Geisha. Il se concentre sur la période où il se trouve au Japon et évoque la difficulté de s’adapter à une autre culture ainsi que les différentes rencontres qu’il fera.
| Nom: | le barbare et la geisha |
| Format: | Fichier D’archive |
| Système d’exploitation: | Windows, Mac, Android, iOS |
| Licence: | Usage Personnel Seulement |
| Taille: | 40.79 MBytes |
John Wayne est très bien dans un rôle inhabituel. Politique de confidentialité À propos de Wikipédia Avertissements Contact Développeurs Déclaration sur les témoins cookies Version mobile. Enfin, le film donne aussi la réplique à So Yamamura, vu dans « un Voyage à Tokyo », disparu récemment il me semble. Si ce n’est pas forcément un film majeur et reconnu de Giesha Huston, c’est néanmoins une oeuvre, agréable, plaisante à suivre et forte intéressante malgré ses quelques maladresses où le réalisateur américain mêle aventure, exotisme et choc des cultures, bénéficiant d’une excellente qualité visuelle et de très bonne interprétation. Ce qui compte, ce sont des vues assez splendides du Japon, aujourd’hui images d’archives, même si l’on regrettera parfois la lenteur du film lui-même, qui s’intéresse moins à un scénario qu’à une revendication politique des relations Américano Japonaises ce fameux « Nichibei »
Un vrai régal pour les yeux de par la beauté des paysages et la reconstitution au millimètre près décors, costumes Dans un registre un peu inhabituel pour baebare, John Wayne s’avère pourtant très bon dans le rôle de Towsend Harris, un diplomate américain qui se rend au Japon et qui tombera sous le charme de la geisha, Okichi la très jolie Eiko Ando.
Le Barbare et la Geisha (The Barbarian and the Geisha) (1958) de John Huston
John Wayne trouve un rôle très barbarre il est d’ailleurs très emprunté avec sa partenaire nippone. Si l’histoire est traitée de manière assez classique, et n’est pas exempte ,a quelques petites maladresses, elle a le mérite de s’inscrire dans un contexte qui lui est vraiment passionnant autour d’un japon de l’ère Édo qui vit encore avec sa propre culture et qui voit en débarquer une autre, un japon d’abord hostile vis-à-vis de cet Américain.
John Wayne n’a jamais été un chaud lapin et sa relation avec la soi-disant geisha Eiko Ando restera toute platonique. Le Barbare et la geisha. Suivre son activité abonnés Lire ses 4 critiques. Le ton en est plutôt dramatique, mais l’humour n’est pas absent avec notamment une scène de geishw qui n’est pas sans rappeler l’univers du western.
Un film plutôt méconnu du grand John Lire l’avis à propos de Le Barbare et la Geisha Parfum d’aventure et d’exotisme sur le pays du soleil levant C’est en que John Huston se voit geisya le projet de retracer de manière romancée la vie du diplomate Townsend Harris, qui devient le premier ambassadeur américain installé au Japon en C’est en que John Huston se voit bbarbare le projet de retracer de manière romancée la vie du diplomate Townsend Harris, qui devient le premier ambassadeur américain installé au Japon en Towsend Harris est une figure importante dans les relations entre le Japon et le reste du monde.
Let there be light de john huston. Sur le même thème. Il fallait redonner l’espoir de renouer les liens. Il met en avant la façon oa cet Américain va devoir faire face à un pays fermé et vivant uniquement selon ses propres cultures et traditions.
Adapté de l’histoire d’Ellis St C’est en que John Huston se voit confier le projet de retracer de manière romancée la vie du diplomate Townsend Barbbare, qui devient le premier ambassadeur américain installé au Japon en Reconnaissons le courage de Huston de ne point doubler ses acteurs japonais John Wayne est accompagné de Nelson Monfort qui lui traduit gentiment chaque phrase prononcée en japonais: Les meilleurs films de tous les temps.
Le Barbare et la Geisha
Lire l’avis à propos de Le Barbare et la Geisha Le barbare et le gai chat Towsend Harris est une figure importante dans les relations entre le Japon et le reste du monde. Les aventures de Spirou brabare Fantasio.
Commenter avec CanalBlog Utiliser Facebook. Tous ses actes et ses gestes sont observés avec la plus grande méfiance.
FB facebook TW Tweet. Lire la critique de Le Barbare et la Geisha Choc des cultures Nous avons donc là un agréable divertissement réalisé par un des piliers du film d’aventures et adepte des destinations exotiques, le grand John Huston. Politique de confidentialité À propos de Wikipédia Avertissements Contact Développeurs Déclaration sur les témoins cookies Version mobile.
Suivre son activité abonnés Lire ses 1 critiques. Un John Wayne méconnu, qui fit un peu scandale en son temps, car soulignait le racisme des Japonais qui est réel mais différent du sens que l’on lui donne: Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter.
Posté par Shangols à John Wayne Townsend Harris. Bref, un classique à voir par curiosité pour tout fan de Wayne ou pour les représentations US du début des années 60 sur l’archipel Nippon.
Le Barbare et la Geisha – Film () – SensCritique
Vérité au delà des Pyrénées, erreur en deçà Montaigne. En quelque sorte un film d’aventures, car dans les années 50 le Japon était encore un pays exotique pour beaucoup de spectateur.
Sô Yamamura Governor Tamura. Suivre son activité 1 abonné Lire ses 42 critiques.
